Un outil conçu par et pour la production

Un outil par et pour la production

Les responsables dans les usines passent entre 30 et 70% de leur temps à chercher des informations. Ce chiffre résume à lui seul l’état du digital dans l’industrie. Il réduit la performance actuelle et compromet la performance future. Il fatigue ceux qui y travaillent. Et il freine l’attractivité des métiers à un moment où les entreprises ont désespérément besoin de nouveaux talents.

Les usines dites 4.0 arrivent avec un socle numérique moderne. Le problème est qu’elles représentent une part infime du parc industriel français. En 2021, 84 sites ont ouvert pour environ 160000 sites existants. C’est le même défi que dans le bâtiment. L’enjeu n’est pas seulement de construire du neuf. L’enjeu est de rénover ce qui existe déjà.

Le vrai sujet est là

Comment digitaliser les usines existantes sans entrer dans des projets interminables et coûteux qui bloquent l’activité au lieu de la soutenir ?

Une réduction salutaire du spécifique dans le SI

Pour filer la métaphore, un architecte ne dessine pas dans le SI central. Il utilise un outil spécialisé, adapté à son métier. Il devrait en être de même pour la production industrielle.

Aujourd’hui, l’ERP a pris toute la place. Il est devenu l’outil par défaut pour tout ce qui touche au flux d’informations, même quand ce n’est pas son rôle. L’ERP doit revenir à son périmètre d’origine. C’est à dire la gestion des processus financiers, la planification et la sécurisation des données. C’est son coeur. Et il le fait très bien.

Mais la production a besoin d’autre chose.
Elle a besoin d’outils qui vivent au rythme des besoins opérationnels.
Elle a besoin de solutions que les équipes terrain peuvent améliorer, adapter ou supprimer sans faire appel systématiquement à un développeur ou au service IT.

Redonner du pouvoir aux métiers

Les chefs d’atelier, ingénieurs méthodes, responsables industrialisation, responsables qualité ou spécialistes en amélioration continue sont ceux qui connaissent la réalité du site. Ce sont eux qui doivent pouvoir digitaliser leurs processus sans dépendre d’un cycle long et complexe.

En leur fournissant une boite à outils simple et évolutive, on crée un cercle vertueux.

• On désengorge la DSI qui peut se concentrer sur les sujets critiques.
• On donne aux métiers le pouvoir d’améliorer leur quotidien.
• On limite le shadow IT en offrant un cadre clair et sécurisé.

Cela ressemble à une recette miracle, mais c’est surtout du bon sens industriel. Un outil pensé pour la production. Un outil qui parle le langage de l’usine. Un outil qui évolue avec elle.

C’est précisément la promesse de C-981

Créer un espace où la production peut construire ses propres solutions numériques, sans dépendance lourde, sans dette technique et sans surcoût. Une plateforme qui complète l’ERP au lieu de le concurrencer. Une approche qui respecte les réalités du terrain. Et une vision qui redonne du sens au digital dans l’industrie.